Nous avons bien mangé, nous sommes prêtes à repartir. Il ne nous reste que quelques heures et il est évident que nous ne pourrons pas faire tout ce que l'on avait prévu.
Nous quittons la Contrescarpe en direction de la rue Monge pour visiter les arènes de Lutèce. Nous partons dans le mauvais sens et devons faire demi-tour. Enfin nous arrivons près d'un immeuble raplapla, bizarre.
Profil très original
avant de rentrer dans les arènes nous étions bien sous cet arbre
Les arènes de Lutèce, construites au ier siècle, sont un amphithéâtre gallo-romain situé à Paris. Il s'agit d'un complexe hybride, de type « amphithéâtre à scène » ou encore « amphithéâtre-théâtre », comportant à la fois une scène pour les représentations théâtrales et une arène pour les combats de gladiateurs et autres jeux de l'amphithéâtre.
les arènes, dommage ces grilles qui les entourent !
Nous nous arrêtons devant une statue, Gabriel de Mortillet.
Un monument à sa mémoire, inauguré le 26 octobre 1905 a été érigé dans les arènes de Lutèce, le buste en bronze de Mortillet a été fondu durant l'Occupation, reste la colonne et le personnage en pierre.
photo empruntée sur le Net représentant la statue avant la guerre
Nous nous retrouverons pour boire le thé au prochain épisode. RV à la Grande Mosquée.
9 h 30 Nous quittons le FIAP après un copieux petit-déjeuner.
Jusqu'à 13 heures nous marchons, d'abord en direction de la Seine en repassant près de la Butte aux Cailles puis en direction de la Seine jusqu'à la Place d'Italie.
Vous voulez le refaire, facile voilà l'itinéraire. Je n'ai pas fait de photos avant d'arriver à la Contrescarpe.
Rue Cabanis
Rue Broussais
Rue de Tolbiac
Rue Bobillot
Place d'Italie
Avenue des Gobelins
Nous arrivons rue Mouffetard, elle monte, elle monte mais qu'elle est belle !
C'est une des rue les plus anciennes de Paris, probablement 1er siècle. Wikipédia nous dit qu'elle descend en pente douce depuis la montagne Sainte-Geneviève, nous nous la grimpons jusqu'à la place de la Contrescarpe.
Allez on continue par la Rue Thouin, la rue Tournefort où vécu Prosper Mérimée. Plus loin un homme qui n'a jamais fumé et encore plus loin Denis Diderot.
Au prochain épisode nous nous arrêterons plus longuement au Panthéon puis nous irons nous restaurer rue Mouffetard.
RER et Métro nous rapprochent du FIAP Jean Monnet, rue Cabanis, dans lequel nous trouverons un cadre agréable pour nous reposer et nous restaurer. Je vous mets le lien si vous souhaitez y faire une halte. Nous y reviendrons. Le petit déjeuner à volonté est copieux et il y en a pour tous les goûts.
Il pleuviote devant la Sorbonne, nous attendons Isabelle qui doit nous rejoindre. C'est elle qui nous guidera toute l'après-midi dans la Butte aux Cailles. Mais avant nous allons nous restaurer au Saïgon d'Antan, rue Monsieur le Prince (ancienne rue des Fossés Saint-Germain). Le Bo Bum est délicieux accompagné d'une bonne bière chinoise et les litchis rafraîchissants terminent agréablement le repas.
Nous repartons en traversant le Jardin du Luxembourg. Au loin le Sénat. Zut ! j'ai oublié de faire des photos, quand on papote on ne pense pas toujours à sortir l'appareil. Et on papote, on papote tout le long jusqu'à la Butte aux cailles. Beaucoup de fleurs, de beaux graffitis, des maisons anciennes et aussi des rues sans voiture, on peut circuler tranquillement.
Un énorme pot de dahlias sur notre tête
Nous sommes bien à la Butte aux Cailles
Léo et le Grand Jacques
Maisons penchées très anciennes
beaucoup de verdures dans ces maisons
En quittant la Butte aux Cailles nous prenons un très long boulevard (je crois Auguste Blanqui - à confirmer par les copines). Il y avait un marché le matin, l'après midi ce sont les corbeaux qui aident au nettoyage.
Debout à 5 heures, comme convenu un coup de fil à Evelyne pour la réveiller mais comme moi elle a anticipé son réveil, elle est déjà debout. Je prends mon tram dans lequel se trouvent les fêtards du samedi soir. Certains bien fatigués, d'autres bruyants, je rigole en les observant alors que j'appréhendais un peu ce départ au petit matin. Je ne suis pas seule. Evelyne dans son tram, même ligne mais en sens inverse fait le même constat.
Nous nous retrouvons gare Saint-Jean et en avant Paris.
Arrivées à 10 heures. Direction Saint-Germain des Près mais avant un petit café au Bar de la Mairie, près de l'Eglise Saint-Sulpice. Isabelle que nous retrouverons un peu plus tard nous raconte que Fabrice Lucchini a tourné dans ce café. C'est l'idole d'Evelyne, elle a regretté de ne pas avoir fait de photos de ce bar. Nous ne rentrons pas dans l'église, il y a un grand rassemblement de scouts sur le parvis.
Eglise Saint-Sulpice et statue de Fénelon
Après la pause café nous poursuivons notre marche en direction de Saint-Germain des Près. Nous passons devant la statue de Denis Diderot, je la trouve très belle, presque vivante.
L'Eglise de Saint-Germain des Prés est en travaux, le café de Flores est bondé et bien fleuri. C'est d'ailleurs une constatation permanente que nous ferons durant ces deux journées, les façades et les balcons parisiens sont très fleuris, c'est vraiment très joli et en ce dimanche sans voiture nous pouvons lever la tête sans risque.
Diderot
Nous nous dirigeons vers les bords de Seine et faisons un petit arrêt place de l'Institut pour admirer l'Académie Française. Nous passons devant l'Hôtel des Monnaies, journée porte ouverte mais n'étant pas sûre qu'ils nous en donnerons (de la monnaie) nous poursuivons jusqu'à la fontaine Saint-Michel. Evelyne l'a toujours vue envahie par les touristes, nous avons la chance de pouvoir nous en approcher.
Eglise de Saint-Germain des Prés et le Café de Flores
L'Académie Française
Fontaine Saint-Michel
Notre-Dame
rue de la Huchette et rue du chat qui Pêche
Les quais sont tranquilles sans voiture, nous nous approchons de Notre-Dame mais c'est juste un aperçu, nous la verrons de près lundi.
Après un petit détour rue de la Huchette nous allons jusqu'à la Sorbonne ou Isabelle va nous rejoindre.
La suite au prochain numéro...
La Sorbonne et une petite silhouette, vous la reconnaissez ?
Quelques images insolites d'un périple de 4 jours fait en 2008 sur le Chemin de Compostelle d'Ainhoa à Pampelune. Je ne montre que quelques photos surtout animalières, sans les participantes de ce séjour, c'était une autre époque.
même pas peur !
dans le village d'Almandoz, l'habitat est au-dessus des étables, l'odeur était impressionnante
une jolie fontaine
de beaux arbres !
un barrage mais j'ai oublié le nom de la ville
vue sur la chaîne des Pyrénées depuis la chambre, mais d'où, peut être Arizcun
Je n'avais jamais vu autant de couleurs, de nuances, de mélanges. L'iris mauve et blanc étant le plus commun, là vous allez être étonnés sans doute par toutes ces espèces.
Bon week end à tous
Dés l'entrée nous sommes accueillis par le mauve et blanc
des jaunes
des roses
Des panachés de toutes les couleurs. Merci pour votre visite.
Alors vous allez être gâtés. Des grosses, des petites, des parfumées (et non ça je ne peux pas vous les faire sentir !), des blanches, des rouges des roses, vous ne saurez pas laquelle choisir.
A demain pour découvrir des iris comme vous n'en avez jamais vus.
Alors vous allez être gâtés. Des grosses, des petites, des parfumées (et non ça je ne peux pas vous les faire sentir !), des blanches, des rouges des roses, vous ne saurez pas laquelle choisir.
A demain pour découvrir des iris comme vous n'en avez jamais vus.
Alors vous allez être gâtés. Des grosses, des petites, des parfumées (et non ça je ne peux pas vous les faire sentir !), des blanches, des rouges des roses, vous ne saurez pas laquelle choisir.
A demain pour découvrir des iris comme vous n'en avez jamais vus.
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Le blog de mes-histoires-de-randos.over-blog.com
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Découverte de la randonnée en particulier en Gironde et quelques départements voisins.
La randonnée permet aussi de faire de belles rencontres, de se faire des ami(e)s.
C'est aussi de belles photos souvenirs qui alimentent mes albums.
J'ai commencé la randonnée en 2006 et depuis je marche sans me lasser. Mes autres passions, la lecture, l'histoire et la photo.
Timide, réservée, fidèle et toujours disponible pour sa famille et ses ami(e)s voilà c'est moi.