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LA SAUVE MAJEURE

Retour à la Sauve Majeure d’où nous avions démarré une randonnée avec Les Amis de l’été le 30 juillet (cliquer pour voir l’historique, les photos et le récit de cette rando) http://mes-histoires-de-randos.over-blog.com/categorie-11989646.html.

Départ à 10 h au pied de l’Abbaye pour une randonnée de 20 km animée par Nicole, 27 participants. Ciel gris et lourd, très vite, malgré seulement une vingtaine de degrés nous avons très chaud. La pluie était annoncée mais seulement quelques gouttes nous inquiètent vers 13 h mais rien de comparable à la semaine précédente.

Une tourterelle sur le casque du soldat

Nous partons toujours dans les bois en espérant encore trouver des cèpes, nous rencontrons des ramasseurs avec de belles cueillettes mais seulement 2 petits seront ramassés par une randonneuse. On voit beaucoup de chevaux, dont un avec des oreilles d’âne (le pauvre) et un panneau nous disant que nous circulions sur le chemin à nos risques et périls (ouf on s’en est sorti intacts).

Nous nous arrêtons pour le pique-nique près des ruines du moulin de Clémentine, il n’en reste pas grand-chose de cette pauvre Clémentine, mais le site est très agréable.

Un peu plus loin dans un pré un joli troupeau d’ânes ou de mulets vient nous voir et lécher un bloc de sel dans la main d’Isabelle, l’APN est prêt bien sûr et je me régale de faire quelques photos. Ils sont très curieux et très sociables. Isabelle nous raconte qu’en montagne ces blocs de sel sont transportés par les bergers ou autres éleveurs, au bout d’un long bâton. Nous passons un bon moment à les observer et à écouter Elise nous donner la différence entre l’âne et le mulet, donc se serait paraît-il des ânes, le mulet étant plus grand (j’attends vos commentaires).

Après les ânes, au moulin  d’Audigey nous voyons boucs et chèvres, la plus belle n’a pas voulu poser pour la photographe, elle avait pourtant de beaux yeux bleus.

A Blasignan,  je suis arrêtée par un vilain monstre assis qui doit garder l’entrée de la maison.

Tout le long de cette randonnée, nous avons vu beaucoup d’arbres fruitiers, pommiers, poiriers, grenadiers, figuiers, noyers et des châtaigniers. La cueillette est interdite bien sûr car un troupeau de 27 chapardeurs ça dévasterait tout, mais les noix et les châtaignes sont bien tentantes puisqu’il suffit de se baisser pour les ramasser. Il n’y a plus beaucoup de mûres, la saison se termine.

Une belle randonnée différente mais toujours de beaux paysages. Nous la terminons par l’arrière de l’Abbaye en venant de la piste cyclable et en ayant à faire une belle grimpette bien raide pour terminer de nous achever.

Merci Nicole.

(Photos dans Album : randos de l'été 2)

Demain la suite des Antilles

VILLEGOUGE

(vue depuis Plain-Point)

(toutes les photos dans l'album : TPB 2012)

Pour la reprise des randonnées du jeudi, nous allons marcher à Villegouge* derrière Jean-Pierre pour une sortie de 14 km. Nous ne sommes que 17 participants, sans doute la pluie du matin en a-t-elle découragé  quelques-uns, bien à tort car nous n’avons eu que quelques gouttes rafraîchissantes d’ailleurs, il faisait vraiment très chaud.

J’avais déjà fait plusieurs randonnées à Villegouge mais celle-là est nouvelle pour moi. Départ de l’église de Villegouge en direction du Port de Saillans sur les bords de l’Îsle.

entre 2 tertres

Le parcours est partagé entre vignes et forêts, très vallonné, de belles grimpettes, quelques petits fossés à traverser, des bosses à escalader, un programme varié qui évite la monotonie.

Pour la pause goûter, et oui il faut recharger nos accus, nous nous installons sur les bords de l’Îsle où nous découvrons d’immenses filets de pêche.

sur les bords de l'Îsle, un immense filet

Nous surplombons souvent des paysages magnifiques, des tertres**, des vignes à pertes de vue (Côtes de Fronsac), nous traversons le parc du château Plain-Point***, toujours sur les hauteurs et là aussi le décor est de toute beauté.

Plain-Point de face

Plain-Point de dos

pois de cent ans

marjolaine toi si jolie

La randonnée se termine à 18 heures, fatigué(e)s mais content(e)s de cette sortie. Je repars avec Michelle qui vient elle aussi de rejoindre le TPB et qui s’est sentie bien intégrée tout de suite. Que je suis contente de sa présence, toujours fidèle et amicale.

Merci Jean-Pierre pour cette belle randonnée.

*L'origine du nom VILLEGOUGE :

Wisigothique, ou plus exactement médiévale.
Son nom à l'époque s'orthographiait Villagosia.
Il signifie sans doute ville des Goths ; gardant le souvenir de l'époque Wisigothique.
Les hommes du néolithique ont trouvé sur le Tertre de Thouil le meilleur des sites pour y fixer leur camp.
L'emplacement de leurs cabanes, des débris de cuisine et autres tessons de céramiques nous renseignent avec exactitude sur leur vie.
Le tertre est pratiquement toujours occupé aux différentes périodes.
A l'époque gallo-romaine toutefois, les vestiges archéologiques les plus nombreux se trouvent vers Meyney et Canet, car proches de la villa de Saint Aignan.
Les documents médiévaux tendent à montrer que la commune a beaucoup souffert des dégâts de la guerre de Cent ans.

Tertres**

Aux portes de Libourne, à quelques encablures du confluent de la Dordogne et de l’Isle, le Fronsadais bénéficie d’un pouvoir d’attraction singulier dans le vaste concert des appellations bordelaises, tant par le charme unique de ses paysages vallonnés et la richesse de son passé que par la qualité de ses vins. Il n’est que de monter sur le célèbre tertre de Fronsac, qui culmine à 77 mètres d’altitude, pour embrasser l’un des plus beaux panoramas du Bordelais. Ce même tertre où Charlemagne fit ériger une forteresse qui ne fut détruite qu’en 1623 et remplacée par une somptueuse “folie” italienne, construite à la demande de Richelieu, Duc de Fronsac. Protégé par les méandres de la Dordogne et de l’Isle, le terroir très spécifique du Fronsadais induit une vocation viticole très marquée : climat très doux, sols à dominante argilo-calcaire qui reposent sur la fameuse “molasse du Fronsadais”, drainage naturel du fait des pentes souvent accentuées… Ce terroir porte en réalité deux vignobles, celui de Fronsac au nord et, au sud, celui de Canon-Fronsac, qui doit son particularisme à son sous-sol constitué de calcaire à astéries. Au-delà de ces nuances, l’ensemble de cette production porte la signature des vins de côte. Colorés de façon intense, brillants, séveux, ils possèdent beaucoup de corps tout en présentant une grande élégance aromatique, parfois relevée de nuances d’épices et de truffe. Il est intéressant de signaler que ces vins de qualité, sans doute moins connus que leurs voisins Pomerol et Saint-Émilion, possèdent un rapport qualité-prix extrêmement attractif.

***Château Plain-Point

Le Château Plain-Point est né dans le berceau historique des vins du  libournais. Plain-Point est un ancien château-fort édifié, voilà presque mille ans, sur les vestiges d’une villa gallo-romaine. Le château actuel, niché au cœur d’une propriété de 55 hectares d’un seul tenant domine les 35 hectares de vignes qui constituent le vignoble de Plain-Point

ASQUES C’ETAIT BIEN !

Pour terminer la saison 2010/2011 une nocturne est organisée à Asque s. A  près l’apéritif offert par le TPB et préparé par Michel L. selon une recette très noble (apéritif de la Marquise) et bien sûr délicieux nous partageons un pique-nique commun très très copieux que nous irons éliminer sur les côteaux d’Asques à 20 h 30.

Nous partons pour une marche de 5 km et après quelques sueurs (oui il fait encore très chaud) et quelques jolies grimpettes nous assistons au coucher du soleil derrière les arbres. Il descend très vite et les appareils photos sont de sortie.

Ensuite descente aux voitures pour se rafraîchir et reprendre du dessert, quelques-uns vont reprendre leurs véhicules mais une grande majorité va faire la rando nocturne armée de leur lampe de poche.

Pour ma part je préfère marcher sans la lampe, les yeux s’habituent et même sans lune on y voit assez bien. Nous faisons environ 5 km très joyeusement en compagnie d’une petite chienne qui va nous suivre durant toute la randonnée. Au retour à Asques nous rencontrons son maître tout éploré de l’avoir perdue mais heureux de la retrouver, il nous remercie chaleureusement.

Pour cette dernière de l’année nous avons eu le plaisir de revoir Annie qui a pu faire les 10 km sans problème. Rappelez vous, le 20 février elle faisait une chute provoquant 5 fractures au pied. Elle était heureuse de pouvoir reprendre la rando.

Voilà le programme est terminé et je suis contente d’avoir choisi le TPB, j’y ai fais de belles découvertes, le programme est très varié et l’ambiance joyeuse.

Michel B et Annie proposent des sorties de 20 km le dimanche et bien sûr j’y serais chaque fois que je le pourrai.(photos dans Album TPB5)

Dimanche 19 juin. Lever tôt. A 7 h 30 nous partons en bus au départ de Lormont jusqu’à la forêt de la Braconne en Charente. Au programme, le matin randonnée dans la forêt de la Braconne et l’après midi visites du château de la Rochefoucauld, d’une chocolaterie artisanale et d’un cloître.

Nous arrivons vers 9 h à l’orée de la forêt de la Braconne, à 10 km de la Rochefoucauld.

Après un bon petit déjeuner porté par Jean-Claude et Michèle, nous partons de la Grande Fosse,un petit diable jaune nous montre le chemin, on ne peut pas se tromper.

La forêt de la Braconne  a comme support géologique les terrains sédimentaires qui se sont formés pendant 65 millions d’années, correspondant à la seconde partie de l'ère secondaire appelée Jurassique, qui a débuté il y a 425 millions d’années à une époque où notre région était totalement sous l’océan.

Cet ensemble géologique a subi une intense activité karstique  créant ici et là des pertes de rivière, des effondrements de terrain de différentes formes, tels des ouvalas, des dolines, des avens, des fosses des gouffres, comme à la grande Fosse, des grottes souterraines comme à la Fosse Mobile. Au total on compte plus de 15 gouffres, fosses ou trou dans cet espace forestier. Nous en verrons 3.

La Grande fosse la plus spectaculaire : 55 m de profondeur, 250 m de diamètre.

Légende de la Grande Fosse

La légende dit qu’en des temps reculés, les habitants des environs tinrent conseil sur cette fosse qu’ils jugeaient impossible à combler. L’un des plus malins de l’assemblée s’écria : "je vous dis qu’il faudrait que le diable s’en mêla !" Aussitôt, et en échange de leurs âmes, le diable s’offrit à faire le travail avant le chant du coq. Le soir venu, il apporta une énorme hotte pensant avec son contenu remplir d’un coup la grande fosse, mais quand il l’eut déchargée, la fosse paraissait toujours aussi profonde. C’est le petit monticule que l’on appelle " fagot du Diable " ou " hotte du Diable ".

Après la Grande Fosse nous suivons notre petit diable sur des sentiers souples sous nos pieds et nous arrivons à la Pierre Ceinturée qui présente plusieurs singularités. Tout d’abord on peut voir la trace de la ceinture qui aurait servi à la transporter pour aller boucher la Grande Fosse, sur l’avant la trace des épaules du diable et sur un côté une croix.

Légende de la Pierre ceinturée

Après avoir verser le contenu de sa hotte le diable décida alors d’aller quérir une autre hottée qu’il remplit de grosses pierres.

Mais l’aube pointait et le coq chanta alors qu’il s’apprêtait à précipiter cette pierre dans la Grande Fosse.

La Pierre dit-on, porte à jamais les empreintes qu’ont laissé les deux épaules du diable et les maillons de la chaîne qu’il portait. De rage, il la posa à l’endroit où elle repose aujourd’hui.

Nous repartons en direction d’un autre gouffre, la  Fosse mobile : 25 m de profondeur, 100 m de diamètre

Légende de la Fosse mobile

Cette fosse est un ensemble de cavité et de galeries et doit son nom aux variations du niveau de l'eau s'y écoulant.

La légende dit qu’un soir d’orage, un fils meurtrier résolut de faire disparaître l’objet de son crime dans le gouffre. Toute la nuit, l’entrée de la grotte se déroba chaque fois qu’il voulut y précipiter le corps de son père. Au matin, on trouva le malheureux fou de terreur. Et depuis, la fosse qui avait refusé toute la nuit de se faire complice du crime le plus horrible, un parricide, s’appela : la Fosse Mobile.
Une autre légende dit qu’autrefois, près de la Fosse Mobile, dans la paroisse d’Agris, avait lieu chaque année une frairie sous les grands arbres, au bord du gouffre. Une jeune fille des environs, plus belle que le jour, mourait d’envie d’aller à cette fête, mais ses braves gens de parents ne voulaient pas la laisser partir. Alors elle dit "j’irai, j’irai, dussé-je danser avec le diable" et elle s’en alla… Un jeune homme aussi beau qu’elle la vint inviter à valser, et enlacés, ils dansaient si légèrement que leurs pieds ne semblaient pas toucher terre, mais les assistants s’aperçurent avec stupeur qu’à chaque tour du cavalier, des étincelles luisaient sous ses souliers.

Ils tournèrent et tournèrent longtemps, longtemps… Puis le danseur emporta sa partenaire dans la Fosse Mobile et jamais plus on ne la revit. C’est depuis ce temps-là qu’il n’y a plus de frairie à la Fosse Mobile.

La Fosse limousine (pas de photo)

Vaste doline de 220m de circonférence et 25 m de profondeur. Il existe 3 petites grottes situées sur le flan nord de la Fosse. Au fond, d'une des grottes on été retrouvé des restes humains et un mobilier funéraire. La grotte abritait des sépultures datant de l'Age de Bronze Moyen (-1 400 BC). Vestiges exposés au musée d'Angoulême.

La forêt est une forêt de type karstique, avec chênes pédonculés, rouvres, pubescents et verts, pins noirs d’Autriche et pins Laricio, sylvestres, cèdres de l’Atlas, charmes mais aussi des hêtres ce qui est exceptionnel dans la région. On trouve aussi des érables champêtres et de Montpellier.

Après 12 km d’une belle randonnée dans cette magnifique forêt nous revenons pour le pique-nique près de la Grande Fosse avant de partir en bus à la Rochefoucauld.

A suivre…..demain La Rochefoucauld

PAUILLAC

Le pique-nique se termine, Yves Castex nous quitte sous de chaleureux applaudissements, on l’aurait écouté pendant des heures tant il sait être passionnant dans ces récits.

Nous allons marcher à travers les vignes autour de très célèbres châteaux pauillacais : Château Mouton Rothschild, Château Pontet-Canet, Château Grand-Puy-Lacoste, Château Béhéré, Château Tour Pibran, Château Lynch-Bages. Il y en a beaucoup d’autres, je ne cite que ceux aperçus de près ou de loin.

Nous voici devant le château Pontet-Canet

C’est au début du XVIIIe siècle que Jean-François de Pontet, grand écuyer du roi devenu gouverneur du Médoc, rassemble plusieurs parcelles de terres situées à Pauillac. Quelques années plus tard, ses descendants y ajoutent les vignobles mitoyens du lieu dit Canet. Et c’est ainsi que naît un des plus vastes domaines viticoles du Médoc, qui accole tout naturellement, selon l’usage du temps, le nom de son fondateur à son appellation cadastrale : Pontet-Canet. Cent ans plus tard, le fameux classement de 1855 n’oublie pas Pontet-Canet, qui intègre ainsi l’élite de la viticulture médocaine. En plus de deux cents ans, Pontet-Canet n’a connu que trois propriétaires différents, et est resté toujours familial. Ce sont aujourd’hui les fils de Guy Tesseron qui possèdent et dirigent le Château Pontet-Canet. Les terres du Château Pontet-Canet se situent au cœur de l’appellation Pauillac, au sud des vignobles voisins de Mouton Rothschild et d’Armailhac. La philosophie affichée à Pontet-Canet est d’intervenir le moins possible, mais le plus naturellement dans le vignoble. Depuis toujours, les vins de Pontet-Canet appartiennent à la légende du Médoc. Rubis profond, pourpre, parfois noir, le vin de Pontet-Canet développe un nez caractéristique où se mélangent puissance et élégance, densité et amplitude

Nous passons ensuite devant un des plus connus mondialement sans doute : Le Château Mouton Rotchschild.

En 1853, le baron Nathaniel de Rothschild achète aux enchères le Château Brane Mouton à et le renomme Château Mouton Rothschild, qui sera classé en 1855 Deuxième Grand cru classé. Après le décès de Nathaniel de Rothschild en 1870, le Château reste dans la famille, sans grand développement jusqu'en 1922 où Philippe de Rothschild prend le contrôle du domaine. Il s'y implique pleinement dès 1923, et sera l'artisan de la résurrection du Château. L'année 1924 marque la première mise en bouteille au château (une première dans le Bordelais). En 1973, la seule révision jamais réalisée de la classification de 1855 consacre Mouton au rang de premier Grand Cru. À cette occasion la devise Premier ne puis, second ne daigne, Mouton suis, est devenue : Premier je suis, second je fus, Mouton ne change. Depuis 1983 le domaine appartient à Michel Delberghe-Rothschild.

Nous arrivons devant une grotte au lieu-dit Artigues . C’est une réplique de la Grotte de Lourdes, construite par les Demoiselles Averous au XVIIIème. Propriétaires d’un vignoble à Pauillac, on dit que chaque année les Demoiselles Averous échangeaient un tonneau de leur vin contre un tonneau d’eau bénite de Lourdes.

Ensuite ce sera le château Grand-Puy-Lacoste situé en haut du plateau de Bages, en excellent voisinage, ce beau domaine homogène de 50 hectares planté classiquement à 70% en cabernet-sauvignon, 25% en merlot et 5% en cabernet-franc, produit sous la direction inspirée de François-Xavier Borie (qui rénova le domaine après son rachat en 1978) un Pauillac de tout premier plan.

Enfin nous apercevrons de loin le château Lynch-Bages.

En 1691, John Lynch, quitte l'Irlande pour le Médoc et se tourne vers le commerce. Son fils Thomas hérite en 1749 d'un domaine viticole venant de sa femme Élisabeth. Le château Lynch est né. Pendant trois-quarts de siècle, le domaine fut la propriété de la famille Lynch. Au XVIIIème siècle, le comte Jean-Baptiste Lynch (né en 1749 au Château Dauzac à Labarde) maire de Bordeaux, royaliste et plus tard bonapartiste, hérite du domaine en 1779 lors de son mariage et en confie la gestion à son frère le chevalier Michel Lynch, maire de Pauillac pendant la Révolution Française. À la mort de Jean-Baptiste, le domaine Lynch est partagé en deux : le château Lynch-Bages et le Château Lynch-Moussas. Le château Lynch-Bages deviendra par héritage de la famille Cayrou un domaine appartenant au Général  Félix de Vial jusqu'en 1934.

Depuis 1934, il est la propriété de la famille Cazes. Il est actuellement géré par Jean-Michel Cazes.

Après cette randonnée d’une dizaine de km, nous revenons vers le Port, enchantés par cette belle journée. On en redemande.